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Rassemblements de plus de 100 personnes interdits : bonjour tristesse

13 Mar

Le Premier ministre a annoncé ce vendredi l’interdiction des rassemblements de plus de 100 personnes en raison de la situation sanitaire et de cet enfoiré de Covid-19. Pour notre agenda Jondi ça chamboule pas mal de choses et nous ne savons pas si on va pouvoir suivre toutes les annulations qui vont en découler.

On tentera de mettre à jour les événements des organisateurs qui nous préviennent (merci d’envoyer un mail, avec le lien vers l’événement en question dans le texte, à info@jondi.fr), mais on risque d’en rater quelques-uns. Nous vous invitons donc, en cas de doute, à vous renseigner directement auprès des organisateurs si vous ne voulez pas vous déplacer pour rien.

Dans l’immédiat nous continuerons d’annoncer les événements dijonnais qui nous sont soumis à travers le formulaire (le temps de traitement sera peut-être plus long que d’habitude par contre). La situation évolue vite, et nous tenterons de nous adapter en fonction.

Merci de votre compréhension, restez raisonnables et en bonne santé !

Les oufs.

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Le spectacle « Comme si nous… » vu par les élèves de l’école York

25 Fév

Photo © Jessica Calvo – L’Artifice

Douze élèves de l’école élémentaire York se sont prêtés au jeu de la critique de spectacle. Dans le cadre d’une résidence avec la compagnie L’Artifice, ils ont assisté à la représentation de « Comme si nous… L’assemblée des clairières »  à la salle Jacques Fornier à Dijon et livrent leur point de vue, sans langue de bois ! Du décor au costume en passant par les textes, ils ont relevé le meilleur et le moins bon.

Unanimes ! Abdelkader, Bénédite, Garance, Imrane, Malika, Marion, Noham, Oprah, Pablo, Pharell, Rafa et Victor encouragent les spectateurs à découvrir « Comme si nous… L’assemblée des clairières », la nouvelle pièce de la compagnie L’Artifice, à laquelle ils ont pu assister la semaine dernière salle Jacques-Fornier. « On se prend à l’histoire, on les voit jouer et c’est comme si on était dans les pages du livre qu’ils racontent. » Les élèves du CE2 au CM2 ont salué la performance des artistes. « Ils sont bien dans leur rôle », « il y a même quelques extravagances de costumes, des postures amusantes ». Pour autant, les enfants se montrent francs sur ce qu’ils ont moins apprécié : « Quand l’une des comédiennes pointe sa lampe sur la salle, moi ça m’a mise mal à l’aise ! » Et puis, « parfois, ils précisent quel personnage ils incarnent alors que ce n’est pas nécessaire, les accessoires suffisent ! »

Justement, les accessoires et la mise en scène n’ont pas échappé aux jeunes critiques. « Ils se débrouillent avec trois fois rien, les costumes étaient simples mais une casquette, un doudou et des caisses en bois et hop, on se croyait dans le bus. » Une simplicité qui n’a pas séduit la totalité de nos spectateurs à l’œil affûté. « Comme c’est simple, parfois, ça ne respecte pas la description qui est faite dans le texte et ça perturbe ! » Des détails comme la présence de fumée, la bande sonore, n’ont pas échappé aux élèves de l’école York. « Ça crée une ambiance, du mystère. » L’histoire fait aussi la part belle à la présence de masques. De genres différents, certains se sont révélés dérangeants : « Trop inexpressifs, ils avaient un côté un peu effrayant », tandis que d’autres ont emballé les jeunes. « J’ai particulièrement aimé cette scène. Les masques traduisaient les émotions. »

Sur le texte, les remarques fusent. « J’ai trouvé qu’il y avait trop de gros mots ! » s’indigne un critique avant qu’un autre ne fasse remarquer que finalement « il n’y en avait pas beaucoup. » « Moi je regrette qu’il n’y ait pas de cris d’animaux » insiste une élève sans pour autant révéler l’intrigue de la pièce. Les jeunes gens s’accordent à dire que « Comme si nous… » apporte aussi sa part de rires et de répliques cinglantes mais ils retiennent surtout un autre élément de la mise en scène. « C’est bien qu’il y ait des chansons ! » Si nos douze critiques sont d’accord sur ce point, ils divergent sur les durées. « Elles sont trop courtes », « non, trop longues à certains moments. » Le spectateur jugera.

Il se fera également son avis sur la présence ou l’absence d’action évoquée par les élèves, qui n’ont pas une opinion commune sur ce point. « C’est une histoire policière, y’a pas d’action ! » dit l’un avant que l’autre ne réplique : « Si, avec les naufragés, y’en a ! » Tantôt amusante, tantôt triste, la pièce laisse les critiques sur leur faim. « Quelques questions restent en suspens ! », « on avait envie que ça continue ! »

Les jeunes ont cependant percé les messages du spectacle ou les ont retranscrits à leur façon. « La pièce dit qu’il faut que les parents soient gentils », mais aussi que « les adultes doivent écouter les enfants et leur donner de la liberté » tandis qu’une autre insiste : « Ça dit aussi que les enfants ne sont pas des esclaves. » Pour certains, plus pragmatiques, d’autres messages ressortent. « Il ne faut pas laisser les enfants sans surveillance » ou encore « il ne faut pas polluer, surtout les adultes ! ». Les plus imaginatifs ont vu une façon de dire qu’« il ne faut pas s’empêcher de rêver car son esprit reste libre de toute façon ». Les douze jeunes critiques avouent parfois se reconnaître dans les personnages évoqués dans « Comme si nous… ». Une raison sans doute qui les encourage à conseiller à tout un chacun d’aller voir la pièce. Pour autant, si six d’entre eux se réjouiraient à l’idée d’y retourner, les six autres sont plus dubitatifs. « Ce serait ennuyeux vu qu’on connait déjà la fin et je risque de la raconter aux autres. »

Un projet d’éducation artistique et culturelle de la ville de Dijon inscrit dans le cadre d’une résidence artistique en école portée par la Minoterie et menée par la Cie L’Artifice. Un projet soutenu par Canopé.

Le spectacle sera présenté les 2 et 3 avril à l’Arc au Creusot.

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Deux nouveaux bars bientôt à Dijon

18 Fév

Ça bouge du côté de la place Emile-Zola, avec l’arrivée annoncée de deux nouveaux établissements (deux franchises) : le Chouff’bar et le 17.45. 

Le premier ouvrira ses portes au numéro 20. Il remplacerait donc, fin mars, le bar à poutine Léa & Léopold, et sera spécialisé dans la bière de la brasserie d’Achouffe, dans l’Ardenne belge. Une boisson très goûtue, comme on dit, mais qui tape un peu (8 degrés). Avis aux amateurs.

Un Chouff’bar existe déjà à Paris, dans le 5e arrondissement.

Le 17.45 remplacera l’Assommoir (48, rue Monge), qui a fermé en décembre. 17.45, « c’est l’heure de l’apéro mais c’est aussi un clin d’oeil à notre premier restaurant ouvert au 45 rue des Dames dans le 17e arrondissement de Paris ». Car plus qu’un bar, le 17.45 se revendique « restaurant 100% spécialiste des planches apéros ». On compose ses planches de charcuterie et fromage en choisissant parmi une quarantaine de produits de terroir. Un concept développé par des « amateurs de bonne ripaille et de bon vin », que l’on trouve aussi à Bordeaux. Ouverture prévue fin février-début mars.

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé.

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Festival GéNéRIQ 2020 – Le programme à Dijon

27 Jan

On a des places à vous offrir !
Laissez un commentaire en bas de l’article de l’événement pour lequel vous souhaitez gagner vos places (un commentaire par personne par concert).
Suivez les liens ci-dessous :

– 06.02 : Videoclub + Yseult + Sally – La Vapeur (un lot de 2 places)
– 07.02 : H09909 + Jardin – Consortium Museum (un lot de 2 places)
– 07.02 : N’to + Dan Deacon + French 79 live + Moonshine + Obertonstruktur der Kaulquappe – la Vapeur (un lot de 2 places)
– 08.02 : Squid + Warmduscher + Bandit Bandit + Stuffed Foxes + Mixture – Consortium Museum  (un lot de 2 places)

Génériq à Dijon, c’est 13 rendez-vous (dont 5 payants) sur 4 jours, 25 artistes dans 9 lieux différents. Le « festival des tumultes musicaux en ville » a été lancé en 2007 sous l’impulsion des Eurockéennes de Belfort. Ils est porté conjointement par six structures du Grand Est (en plus des Eurockéennes, La Vapeur (Dijon), Le Moloco (Audincourt), Le Noumatrouff (Mulhouse), La Rodia (Besançon) et La Poudrière (Belfort)) et axé sur la découverte d’artistes en éclosion – d’envergure nationale voire internationale – et sur la démocratisation culturelle.

Le programme complet du festival à Dijon : 

Jeudi 6 février 

Vendredi 7 février

Samedi 8 février 

Dimanche 9 février 

Source : Festival Génériq – Photo : Carotte Quantique

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Concours Musiques de RU : le tremplin des nouveaux talents

06 Jan

Le réseau national des Crous organise un tremplin étudiant, ouvert à tous les styles. A gagner : 2000 euros pour le lauréat national, mais aussi un accompagnement sur mesure pour les meilleurs régionaux. Date limite de dépôt des candidatures le 15 janvier.

Photo © Marc Vervinck

Le tremplin Musiques de R.U. est ouvert à tous les styles musicaux et permet à de jeunes groupes d’exposer leur répertoire. En n’accueillant que des morceaux originaux, ce tremplin musical étudiant est l’occasion de découvrir de nouveaux talents. Initié par le Crous de Bordeaux-Aquitaine, Musiques de R.U. est un tremplin musical étudiant national organisé par le réseau des Crous à travers toute la France, en partenariat avec de nombreux acteurs culturels du territoire.

Ce tremplin se déroule en deux temps : une phase régionale et une autre nationale. Des concerts de sélections régionales sont organisés entre février et mars de chaque année, en public et devant un jury composé entre autres de professionnels de la musique et de partenaires locaux (SMAC, médias, associations…).

Les lauréats régionaux sont proposés pour les phases finales nationales qui se déroulent chaque année en mai, à Bordeaux. A la clé, jusqu’à 2000€ pour le lauréat national, un accompagnement personnalisé par l’Irma, une programmation dans le cadre du Fimu, Festival international des musiques universitaire de Belfort, des programmations dans le réseau des Crous, notamment les Campulsations à Bordeaux…

La Finale Régionale aura lieu le 13/02/2020 à la Poudrière de Belfort // Soirée gratuite

Le Crous Bourgogne-Franche-Comté compose pour l’occasion un jury de professionnels représentants des structures locales incontournables du milieu musical de notre région : Le Fimu, Le Bastion, La Rodia, Magma Magazine, Sparse Magazine, Radio campus Besançon, Radio campus Dijon, La Vapeur, La Poudrière et Le Moloco.

Ces partenaires participent à l’accompagnement des lauréats pendant un an, au travers de résidences de travail, de répétitions accompagnées et la programmation de concerts… Trois groupes (ou solo) auront donc la possibilité de défendre leur chance, devant ce jury, pendant un live de 25 minutes chacun. Le groupe lauréat participera à la sélection pour la finale nationale du Tremplin au mois de mai à Bordeaux.

Au-delà des prix, Musiques de R.U. est avant tout un tremplin convivial permettant la rencontre et l’échange avec des professionnels du milieu musical, local et national, pour aider les groupes à développer leurs projets musicaux. Ce tremplin s’attache particulièrement, à la valorisation de la création étudiante, à la découverte des nouveaux talents et à défricher le paysage musical actuel dans ce qu’il a de plus prometteur.

Sont passés au Tremplin en BFC ces dernières années : WormholeNeptune QuartetPotlatch, Blue OrchidFalkor et Fenc/s

En pratique :
– Être un.e étudiant.e seul.e ou un groupe composé au minimum pour moitié d’étudiant.e.s inscrit.e.s dans un établissement d’enseignement supérieur français ;
– Remplir le formulaire d’inscription disponible au Service Culturel du Crous Bourgogne-Franche-Comté ; – Envoyer entre 3 et 6 titres originaux (reprises interdites), par mail ou directement au Service Culturel du Crous BFC (enregistrements sous formats .wav ou .mp3);
– Être disponible pour la finale régionale ;
– Date limite de dépôt de l’ensemble du dossier : 15 janvier 2020.

CONTACT ET INSCRIPTION
Frédéric Sonnet Service Culturel
du Crous BFC Théâtre Mansart
94 boulevard Mansart 21000 Dijon

03 45 34 86 15 frederic.sonnet @crous-bfc.fr www.crous-bfc.fr

DATE LIMITE DE DÉPÔT DE L’ENSEMBLE DU DOSSIER : 15 JANVIER 2020

Par ici pour suivre Musiques de RU Bourgogne-Franche-Comté sur Facebook.

Photo © Musiques de RU – Marc Vervinck

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Où fêter le réveillon du nouvel an 2020 à Dijon

27 Déc

Toujours rien de prévu pour la Saint-Sylvestre ? Jondi a collecté plein de sorties en fonction de votre budget ou de vos envies. Attention, dans la plupart des cas il faut réserver: cliquez sur les liens pour plus d’infos. Ah, et pour ceux qui demandent, le feu d’artifice à Dijon c’est le 14 juillet, pas le 31 décembre. Joyeuse teuf et faisez pas (trop) les cons!

DANS LES RESTAURANTS
Réveillon au Comptoir – Le Comptoir de la Routière, menu à 49€.
Réveillon aux Remparts – Les Remparts, menu à 69€.
• Dîner dansant de la Saint-Sylvestre 2019 au restaurant Le Klub – Hôtel Ibis Dijon Gare, menu à 79€.
• Réveillon aux Loges – La Brasserie des Loges, menu à 60€.
Réveillon au Shanti – Shanti, repas végétarien à 50€.
Menu Saint-Sylvestre à l’Edito – L’Edito, menu à 80€
Menu Saint-Sylvestre du Dr. Wine – Dr. Wine, menu à 80€.
Menu de la Saint-Sylvestre à Loiseau des Ducs – Repas gastronomique au Loiseau des Ducs (1 étoile Michelin), à 195 €.
Réveillon 2020 au restaurant Le 75 – soirée dansante – Restaurant Le 75, menu à 62€.
Dîner du 31 décembre 2019 au Bureau – Menu à 80€

DANS LES BARS
Réveillon au Bronx 
– Le Bronx, apéro huîtres et champagne ainsi qu’une carte spéciale avec planche et repas de fête!
Réveillon au Trinidad – Repas à 59€.
• Réveillon au Barberousse – Menu à 30 €, avec cocktail maison. Nous restons ouverts (jusqu’à 4h) à tout le monde, même si vous ne mangez pas chez nous !
Le nouvel an des Caves – Cave à Jules, buffet de fêtes + une coupe de prosecco : 35 euros.
Happy New Year 2020 au Byron BayL’entrée sera gratuite de 22h à minuit. Après minuit: 5€ sans conso / 8€ avec une coupe de bulles.
Réveillon 2020 au Meltdown Tenue correcte exigée, on vous attend donc habillé sur votre 31 pour cette soirée !
Nouvel an 2020 – Gangster Paradise – Le Melkior Dijon et le Bal’tazar Dijon se rejoignent le temps d’une soirée. Entrée 25 € avec conso.
Réveillon de la Saint-Sylvestre au 100% Latino – Salsa, bachata, zouk, kizomba… de 23h à 6h.
Le Beverly se met sur son 31 – Entrée : 10€
Réveillon du nouvel an à l’Alpha De 21 heures à 5 heures. Entrée gratuite!
Soirée du nouvel an 2020 au 221B – Bal Masqué – Sortez vos plus beaux habits mais surtout n’oubliez pas vos masques qui sont obligatoires pour cette soirée haute en couleur. Entrée + cocktail 2019 + champagne à minuit : 28€.
Soirée du nouvel an 2020 avec Calamity Jo – Le Smart. Reprises dance internationales des années 80 à nos jours

LES AUTRES SOIREES
Fêtons le réveillon 2019 à la Maison-phare
La Maison-phare, apporter un plat salé (froid de préférence) et des boissons.
Réveillon de la Saint-Sylvestre au sauna Le Bossuet – Rock CircusBuffet : 90€ par couple, 90€ homme seul, 40€ femme seule.
Réveillon spécial célibataires Club Effervescence. Réveillon convivial avec buffet dansant pour rencontrer d’autres célibataires et faire la fête. Prix libre
Réveillon 2020 – Soirée dansante – Ecole Mansouri. Soirée dansante (sans repas), pour finir 2019 et débuter l’année 2020 en musique. Tarif : 25€
New Year’s Eve 2020 w/ I.N.D, Alienduch, NYX, Kãh Pöh, Olivier FX – Contrast, entrée à 10€

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Son et lumière au palais des Ducs : quelques images en avant-première

18 Déc

Le spectacle « Les mondes de Noël » sera projeté sur la façade du palais des Ducs de Dijon tous les soirs du 19 au 24 décembre. On a capté quelques images lors des tests, cette année, un peu comme les autres années, tous les symboles y passent : ça parlera père Noël, chouettes, pain d’épices, Gustave Eiffel, ducs de Bourgogne…

En images ça donne ça (du 19 au 23 décembre à 18h/18h30/19h/19h30 – Le 24 décembre : une seule représentation à 18 h 15 – plus d’infos sur l’événement – gratuit – en suivant ce lien).

Photos © BC – Jondi

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Festival des Nuits d’Orient – Le programme 2019

29 Nov

Le festival dijonnais « Les Nuits d’Orient » fête ses 20 ans et signe sa pleine maturité artistique et humaine. La programmation est éclectique et toujours exigeante. 140 événements, dont 30 actions de médiation, investissent une cinquantaine de lieux, des plus habituels aux plus insolites.

Le Programme :

LES EVENEMENTS

Vendredi 22 novembre 2019
• 19h : Concert-fourchette – Tarbiya – MJC des Bourroches

Samedi 23 novembre 2019
• 14h : Sieste sonore aux sons d’ailleurs – Salle Camille Claudel
• 20h : Voyage aux sons d’ailleurs – Salle Camille Claudel

Mardi 26 novembre 2019
• 15h : Visite « Auguste Bartholdi en Orient » – Musée Magnin
• 20h : Nuits d’Orient – Spectacle « Stabat Mater Furiosa – Cellier de Clairvaux

Mercredi 27 novembre 2019
• 18h30 : Spectacle « Voyages » – IME Sainte-Anne
• 19h : Spectacle « Rencontre(s) » – Musée des Beaux-Arts
• 20h : Spectacle « Stabat Mater Furiosa – Cellier de Clairvaux

Jeudi 28 novembre 2019
• 19h : « Un carnet de corps » – Atheneum
• 20h : Spectacle « Marry me in Bassiani » – Auditorium
• 20h : Théâtre « Sous d’autres cieux » – Parvis Saint-Jean
• 20h15 : Projection « Le char et l’olivier : une autre histoire de la palestine » – Cinéma Eldorado
• 20h30 : Spectacle « Rencontre(s) » – Archives départementales de la Côte-d’Or

Vendredi 29 novembre 2019
• 18h30 : Théâtre « Sous d’autres cieux » – Parvis Saint-Jean
• 19h : Concert Zadruga – Bibliothèque de Fontaine d’Ouche
• 19h30 : Projection « Fès dans mon coeur » – Consulat général du Maroc
• 20h30 : Danse – « Songes d’une nuit indienne » – Bistrot de la Scène

 

 

Samedi 30 novembre 2019
• 14h30 : Concert – Guitares d’Orient – La Maison Maladière
• 15h : Contes de là-bas, vus d’ici – La Maison Maladière
• 17h : Théâtre « Sous d’autres cieux » – Parvis Saint-Jean
• 18h : Spectacle « (Ex)Ode : au feu des origines » – Médiathèque Champollion
• 20h : Concert « Orpheus XXI » – Grand Théâtre
• 20h : Spectacle « L’Art de Perdre » – Cercle Laïque Dijonnais
• 20h : Concert Nassij – Samira Kadiri, voix de la Méditerranée – Théâtre des Feuillants
• 20h30 : Danse – « Songes d’une nuit indienne » – Bistrot de la Scène
• 20h30 : Concert « Ailleurs » – Salle de la Coupole

 

Dimanche 1er décembre 2019
• 15h : Concert « Ailleurs » – Salle de la Coupole
• 15h : Spectacle « Guersande » –  CH la Chartreuse, salle des fêtes
• 16h : Spectacle Pulse(s) de Filipe Lourenço – Théâtre des Grésilles

Mardi 3 décembre 2019
• 20h : Théâtre « Sous d’autres cieux » – Parvis Saint-Jean
• 20h : Projection – « Le chanteur de Gaza » – Théâtre de la Fontaine d’Ouche

Mercredi 4 décembre 2019
• 15h : Concert « Ailleurs » – Esat Acodège
• 19h : Spectacle – « La Mer Noire » – MJC Grésilles
• 19h : Spectacle « Plus que vivante… Louise Labé et l’Orient » – Musée des Beaux-Arts
• 20h : Théâtre « Sous d’autres cieux » – Parvis Saint-Jean
• 20h : Spectacle « La part de nous qui est restée là-bas » – La Maison-phare

Jeudi 5 décembre 2019
• 11h : Spectacle « Les mille et une sottises du Hodja » – La Maison-phare extension
• 14h30 : Projection « Le cycliste » – La Nef
• 19h30 : Tem’poésie – Salle de la Coupole
• 20h : Théâtre « Sous d’autres cieux » – Parvis Saint-Jean
• 20h : Spectacle « La part de nous qui est restée là-bas » – MJC des Bourroches
• 20h : Concert « Le cri du Caire » – Théâtre des Feuillants
• 21h : Concert Cashbass – Péniche Cancale

Vendredi 6 décembre 2019
• 15h : Visite : Les collections d’armes orientales – Musée des Beaux-Arts
• 18h30 : Théâtre « Sous d’autres cieux » – Parvis Saint-Jean
• 19h : Musique – Stephanie Merchak – Consortium Museum
• 20h : Spectacle « La part de nous qui est restée là-bas » – Le 18
• 20h : Spectacle « Point de fuite » – Consulat général du Maroc
• 20h : Spectacle « Nos ancêtres les migrants » – Théâtre des Feuillants

Samedi 7 décembre 2019
• 15h : Visite : Les collections d’armes orientales – Musée des Beaux-Arts
• 16h : Spectacle « Crash test » – Théâtre des Feuillants
• 17h : Théâtre « Sous d’autres cieux » – Parvis Saint-Jean
• 20h : Spectacle « La part de nous qui est restée là-bas » – Le 18
• 20h : Projection « L’affaire de ma vie » – Cercle Laïque Dijonnais
• 20h30 : Spectacle « Voyages » – Salle de la Coupole
• 20h30 : Liouane en concert – MJC Bourroches
• 22h : Soirée électro – Deena Abdelwahed et Crystallmess – La Vapeur

Dimanche 8 décembre 2019
• 11h : Visite « Auguste Bartholdi en Orient » – Musée Magnin
• 15h : Spectacle « Voyages » – Salle de la Coupole
• 15h : Spectacle « Plus que vivante… Louise Labé et l’Orient » – Musée des Beaux-Arts

 

LES EXPOSITIONS

« Que reste-t-il de notre humanité ? » – Musée de la vie bourguignonne – Cloître des Bernardines
Exposition du vendredi 22 novembre au dimanche 8 décembre 2019.
Vernissage le mercredi 27 novembre à 19h.

« Femmes de Géorgie, tradition & modernité » – MJC Dijon Grésilles
Exposition du vendredi 22 novembre au vendredi 20 décembre 2019.
Vernissage le samedi 23 novembre à 18h

« Apatrides » – Musée de la vie bourguignonne.
Exposition du vendredi 22 novembre au dimanche 8 décembre 2019.
Vernissage le mercredi 27 novembre à 19h.

« Migrations en Je » – Espace Baudelaire
Du vendredi 22 novembre au vendredi 20 décembre 2019.
Vernissage le lundi 2 décembre à 18h.

« Architecture arabo-andalouse, contraintes et adaptations » – Latitude 21
Exposition du 20 novembre au 31 décembre 2019.
Vernissage le vendredi 29 novembre à 20h.

« Auguste Bartholdi en orient, 1855-1856 » – Musée national Magnin
Exposition du vendredi 22 novembre 2019 au dimanche 16 février 2020.

« Le Grand Tour, voyage(s) d’artistes en Orient » – Musée des Beaux-Arts
Exposition du 22 novembre 2019 au 9 mars 2020.

« Présence des suds en Bourgogne-Franche-Comté » – Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté.
Exposition du lundi 25 novembre au vendredi 6 décembre 2019.

« Le voyage au féminin enorient entre 1750 et 1950 » – Hôtel Despringles – Salle des actes
Exposition du dimanche 24 novembre au samedi 7 décembre 2019.
Vernissage le samedi 23 novembre à 11h.

 

RENCONTRES – CONFÉRENCES – TABLE RONDE

Samedi 23 novembre 2019
• 14h : Conférence – « Les migrations internationales » – Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté

Mardi 26 novembre 2019
• 18h30 : Conférence « Auguste Bartholdi et la photographie » – Musée National Magnin

Mercredi 27 novembre 2019
• 14h30 : Rencontre « Orpheus XXI » – Conservatoire à rayonnement régional

Vendredi 29 novembre 2019
• 10h30 : Conférence « Les frontières » – Bibliothèque La Nef
• 17h : Rencontre avec Vincent Djinda – Bibliothèque de Fontaine d’Ouche
• 18h30 : Conférence « Architecture arabo-andalouse, contraintes et adaptations » – Latitude 21
• 20h : Conférence « Les frontières » – Bibliothèque La Nef

Samedi 30 novembre 2019
• 11h : Mut’elles, le réseau des femmes de la mutualité française et Samira Kadiri – MGEN
• 14h : Rencontre culturelle autour de la voix – Théâtre des Feuillants
• 14h30 : Le site Migrations Besançon-BFC s’invite aux Nuits d’Orient de Dijon – Médiathèque Champollion

Lundi 2 décembre 2019
• 18h30 : Rencontre « Une écriture à l’épreuve du temps » – Lycée Carnot
• 19h : Conférence « Diversité du patrimoine religieux et diversité religieuse en Algérie » – MJC des Grésilles

Mardi 3 décembre 2019
• 15h : Conférence « Les étrangers à l’écran en BFC » – Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté
• 18h30 : L’écriture ou l’impérative nécessité de dire l’Algérie d’aujourd’hui – Bibliothèque La Nef

Mercredi 4 décembre 2019
• 18h : Conférence « Les harems sous le regard des femmes occidentales » – Hôtel Despringles

Jeudi 5 décembre 2019
• 17h30 : Rencontre avec Maïssa Bey – Librairie Grangier
• 18h : Conférence « La voix soufie » – ABC
• 18h30 : Conférence « Femmes voyageuses en Égypte au XIXe siècle » – Hôtel Despringles

Samedi 7 décembre 2019
• 18h30 : Conférence « Une Anglaise et une Bourguignonne à Damas » – Hôtel Despringles

 

PROJETS PARTICIPATIFS

Samedi 23 novembre 2019
• 14h30 : Le salon des Nuits d’Orient – Centre social Grésilles
• 20h : Les Nuits d’Orient dansent – Théâtre Fontaine d’Ouche

Jeudi 28 novembre 2019
• 12h30 : L’université au rythme des Nuits d’Orient – Atheneum
• 19h15 : Soirée migration et projection – Lycée Charles De Gaulle

Samedi 30 novembre 2019
• 15h : Le week-end du jeu – La Maison-phare

Dimanche 1er décembre 2019
• 14h : Le week-end du jeu – La Maison-phare

Mercredi 4 décembre 2019
• 14h30 : Des contes d’Orient – Centre social et culturel le Tempo

Jeudi 5 décembre 2019
• 12h : Le resto aux couleurs du festival – La Maison-phare extension

Vendredi 6 décembre 2019
• 12h : Le resto aux couleurs du festival – La Maison-phare extension
• 15h : Concert « Brise du sud » – Espace Baudelaire

Samedi 7 décembre
• 10h30 : Les richesses d’extrême-Orient – Bibliothèque Montchapet
• 14h30 : Les richesses d’extrême-Orient – MJC-Centre Social Montchapet
• 19h30 : Cabaret oriental – MJC Grésilles

Dimanche 8 décembre 2019
• 14h : Jeux asiatiques – MJC-Centre Social Montchapet

 

ATELIERS

Samedi 23 novembre 2019
•16h : Sons d’ailleurs et mouvement – Salle Camille Claudel
• 18h : Sons d’ailleurs – Salle Camille Claudel

Dimanche 24 novembre 2019
• 14h30 : Rendez-vous des familles – Parfums d’Orient – Musée des Beaux-Arts

Jeudi 28 novembre 2019
 • 12h30 : Une heure, une minute – Atheneum
• 18h : Danse avec Filipe Lourenço – Théâtre Grésilles

Samedi 30 novembre 2019
• 10h : Saveurs d’Orient – La Maison Maladière

Mercredi 4 décembre 2019
• 10h : Écriture en musée – Musée des Beaux-Arts
• 14h3o : Du henné pour vos mains – La Maison-phare extension

Vendredi 6 décembre 2019 :
• 9h30 : Cuisinez des pâtisseries orientales – La Maison-phare extension

Samedi 7 décembre 2019
• 10h : Écriture en musée – Musée des Beaux-Arts
• 15h : Danse « One minute/ one shot » – Atheneum

Dimanche 8 décembre 2019
• 10h : Danse « One minute/ one shot » – Atheneum
• 10h30 : Cuisine d’extrême-orient – MJC-Centre social Montchapet
• 14h : Danse « One minute/ one shot » – Atheneum

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Où fêter Halloween 2019 à Dijon

29 Oct

Gros week-end en vue : avec le vendredi férié, le jeudi 31 octobre annonce l’ouverture de trois soirées de teuf. Comme chaque année, Jondi a répertorié les soirées Halloween dijonnaises. Sortez les costumes, voilà le programme (et pensez à boire de l’eau de temps en temps).

L’article sera mis à jour à mesure des infos que l’on collecte.

Halloween à Dijon (cliquez sur les liens pour plus d’infos)

Psycho Poutine Killer au Chez Nous. Soirée sous le signe du PsychoKiller. 2 VinylJockey aux galettes tueuses : Jean Deutschmark & Hervé Villechaize. En accompagnement tout le long de la soirée, Johnny Cachemisère vous fera des frites maison accompagnées d’une sauce meurtrière à la poutine végé et son fromage en grain ! En plus il y aura des Blind Tests d’Ost de films d’horreur qui vous feront gagner du merch’ et braderie de l’association (CD, vinyle, K7, sérigraphie…).

CHKT Horror Party au Terrier. De 18h à 5h, Ketbi, Telliac et Iatch du CHKT DJ Crew feront trembler les platines comme à leur habitude.

Halloween Party à la Chica Loca. 🕸️🎃 Un terrible meurtre a eu lieu au 70 rue Vannerie… Au sol, une silhouette se dessine, sur le miroir, une trace sanglante… que s’est-il passé? 💉💀

Soirée Halloween au Lux. Ambiance sombre, cocktail, shot et punch spécial Halloween, concours de déguisements, et quelques autres surprises seront aux rendez-vous pour vous faire passer la meilleure des soirées!

Halloween party au 221B. Décors monstrueux, cocktails effroyables… Pour une chasse au bonbons réussie, le 221B est l’étape incontournable. Sur place de quoi avoir la trouille! Grand concours de costumes.

Nuit des Zombies à l’Eldorado. Cycle George A. Romero. Présentation des films par Archimède suivie de La Nuit des Morts-Vivants, Zombie, soupe offerte à l’entracte puis Le Jour des Morts-Vivants.

Le Transilvamix de DJ Dracula à l’Alephant. Pour célébrer le génocide de millions de citrouilles, nous ouvrons la Crypte du bar pour le fameux Transilvamix de DJ Dracula ! Soirée dansante et déguisée (ou pas) cependant toute personne venant déguisée aura un cadeau !

Comme tous les ans l’Antre II Mondes fête Halloween avec une soirée spéciale : musique, repas, déco et toute la bonne ambiance que vous pourrez amener !

Hell’s Party au Bam Jam. Vous serez accueillis comme il se doit, dans une atmosphère lugubre et infernale. Des pintes de sang seront à votre disposition pour éviter toute déshydratation. Et bien entendu la musique sera présente pour exciter les mœurs avec DJ Francky Stein. Concours de déguisement.

Halloween Mix Party – Bad Kids x Le Père Cut. Viens fêter Halloween à la boutique Bad Kids ! Concours de déguisements avec cadeaux à la clé, ambiance sombre et rafraîchissements de 21h à minuit. Le Père Cut viendra passer du son avec ses fidèles platines.

Halloween Nightmare au Byron.Un des plus gros rendez-vous de l’année! Halloween Nightmare le jeudi 31 octobre! (veille de jour férié) Pour l’occasion le Byron fermera ses porte à 4h du mat!

Soirée Halloween au Duke. Accueil terrifiant, musique effrayante, films d’horreur et ambiance glauque au rendez-vous. Des petits jeux fun et concours du déguisement le plus terrifiant avec une bouteille à la clef !

Soirée Halloween au Fût, 1 déguisement = un cocktail offert.

Soirée Halloween au Blue Dog : une veillée monstrueuse en attendant les esprits malins et autres créatures de la nuit.

Halloween Horror Party aux Barbarian’s et King Tavern. Trois soirées, jeudi, vendredi et samedi, sur le thème d’Halloween. 🚷 Oserez-vous entrer ? 😱💀

Ça continue vendredi 1er novembre avec la Soirée Noct’Halloween au Dé Masqué. L’occasion de tester notre nouvelle exclusivité : Fiesta de Los Muertos; un coopératif très fun!

Hotstuff Scary Party au Jacquemart. The Terrifics Mister Good Wine & MC Ooz sont de retour au Jacquemart pour une 🦇 Halloween Scary Hotstuff 🔥 Party.

Soirée Halloween au Trinidad. Avec DJ, de nombreux goodies, une bouteille à gagner pour le plus beau déguisement, un mètre à gagner en équipe et maquilleuse sur place.

Soirée de l’HalloWeen au Blues Café. Du potiron, du potimarron et de la courge sucrine du Berry maggle, des Freaky shots et des bonbons parce que « t’aimes ça hein ! les snickers ?! »

Le Beverly fête aussi Halloween, avec une grosse soirée le jeudi et une deuxième partie le vendredi soir.

Halloween à l’Alchimia. Musiques d’ambiance gores et boissons sanguinolentes.

Halloween O’Zaviat avec les D’ukes, Dj Lucine et Djet27.

Halloween à l’Absintherie. Déco et déguisements, cocktails spéciaux et playlist Métal pour l’occasion.

Halloween autour de Dijon (les événements de nos partenaires).

Le jeudi, au Cassissium de Nuit-Saint-Georges, visite théâtralisée. L’histoire du cassis s’invite dans la grande Histoire. Laissez-vous guider par une découverte originale de notre liquoristerie où se mêlent personnages surprenants et anecdotes sur le cassis et la Maison Védrenne : musée pédagogique et ludique, visite guidée de la production et dégustation aux couleurs d’Halloween.

Tout le week-end dès jeudi à Saint-Julien (15 minutes de la Toison-d’Or), Escape Game Halloween. Découvrez le Scary Game ! Encore plus poussé que l’Escape Game traditionnel, ce jeu, unique sur Dijon, mettra votre courage et vos neurones à l’épreuve ! Menez l’enquête dans une maison obscure, et préparez-vous à vous cacher pour échapper aux créatures qui l’habitent…

Retrouvez plein d’autres événements sur notre site Jondi.

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Festival Banana Pschit – Le programme complet

07 Oct

Jondi sous les bombes ! Du 10 au 25 octobre, des dizaines d’artistes, pointures du street art, viennent redonner des couleurs aux murs de Dijon. Au programme de ce nouveau festival Banana Pschit, dédié à l’art urbain : jams graffiti, fresques, expos, concerts, projection et atelier rencontre.

LES JAMS GRAFFITI

De nombreux artistes investissent les Tanneries ainsi que les murs le long du boulevard Maillard et des remparts de la Miséricorde pour deux jours de créations, de concerts et de partage ! Rendez-vous du 11 au 13 octobre.

Les Tanneries, 37 rue des Ateliers
Koma, Gaze, DLA, Sene2, Cloun, Polo, Mit2, Tomik, Iea, Repy, Klemz, Snail, Sowan, Jerc, Cynik, Amos, Faye, Stup, Binse, Persu, Skey, Kles, Poter, Pyrate, Means, Namek, Dexun, Pose… + guests

Boulevard Maillard
Trust, Vyrus, Resk, Easy, Dege, Soke, Share, Zoyer, Collectif Outercircle, Ledis, Wolfe…

CTA Grand Cru, remparts de la Miséricorde
R.One, Sinox, True 86, Elvis, Snare, Sham, Basik, Radio.

LES FRESQUES

Roc Blackblock + Lian – Les Tanneries, 37 rue des Ateliers – du 8 au 13/10
Ensemble, les deux artistes espagnols vont créer une nouvelle oeuvre sur la façade des Tanneries.
Roc Blackblock se définit comme un artiste tout terrain puisqu’il utilise plusieurs supports d’expression comme le papier, le mur ou même la peau. C’est en 1999 qu’il se lance dans le graffiti, et décide d’utiliser l’art urbain comme un moyen d’expression collectif. C’est notamment grâce à la technique du pochoir qu’il illustre son travail.
Lian est une artiste originaire des Etats-Unis et résidente en Espagne depuis deux décennies qui a commencé son travail sur les murs de Chicago à la fin des années 90. Avec ses bombes de peintures comme matériel de prédilection, elle réalise des fresques réalistes et la plupart du temps très engagées.

PochLe M.U.R., rue Jean-Jacques Rousseau – du 10 au 13/10 – vernissage le 13 de 17 h à 20h 30 à la Ferronnerie
Poch gravite dans l’univers punk-rock et s’intéresse très vite au pochoir. Il réalise ses premiers « bombages » dès 1988. Fin 80’s, il découvre le mouvement hip-hop et le graffiti. À la fin des années 90, il opte pour un travail plus minimaliste. Privilégiant d’autres médiums, il multiplie logotypes à l’acrylique, collages in situ, pochoirs et affiches.

Stom500 – 2 rue Ernest-Lory – du 9 au 10/10 – vernissage le 10 à 18 heures
Stom500
a commencé à dessiner lorsqu’il était gosse et ce plaisir de tenir un crayon ou aujourd’hui le spray ne l’a jamais quitté. Artiste, illustrateur ou encore artiste graffiti, ce strasbourgeois n’a pas de supports de prédilection mais juste la passion de pousser sa technique le plus loin possible. Stom500 est un accro des détails dont le trait s’inspire simplement de ses cartoons préférés ou de son quotidien. Ses scènes burlesques nous racontent des histoires portées par un style graphique percutant et très coloré. Un entremêlement de personnages, d’animaux et autres objets surgissant les uns des autres, découpés et mixés de manière improbable.

AmoseEmohd, 44 rue de Tivoli – du 9 au 12/10
Né dans le nord de la France, Amose fait des études d’illustration et de graphisme en Belgique. Durant celles-ci, il se questionne sur ce qu’est l’art. C’est en 2003 qu’il commence à incorporer à ses œuvres une esthétique tribale qu’il a pu découvrir dans les graffitis brésiliens. Pour certains, ses œuvres sont minimalistes, pour d’autres, elles sont brillantes de réalité.

Poter – La Maison Phare, 2 allée de Grenoble – du 10 au 13/10

Eusebio + EE + Dire132 + STF Moscato – Rue de l’Ecluse, piste cyclable, sous le pont, Fontaine d’Ouche – du 10 au 13/10

Eusebio est un artiste visuel mexicain évoluant dans l’illustration, la peinture, la gravure, la sculpture et la peinture murale. Il explore l’étrange, la mort et la nature, les problèmes globaux, cherchant le spectateur à les intérioriser et à les interroger.
Originaire de Mexico, Doble E commence à peindre dans la rue en 2012. En 2015 il étudie les arts visuels et plastiques à l’école d’Art de Mexico et varie les techniques artistiques comme la sérigraphie, la peinture ou encore le dessin. Toujours en études, EE est désormais étudiant en échange à l’Ensa de Dijon.

Dire 132 manie la bombe comme un crayon. Sa passion de longue date pour le dessin, développée avec le graffiti depuis la fin des années 90, l’a progressivement conduit à développer son style à travers des portraits de femmes hyper réalistes. De retour pour Banana Pschit !!!, Dire 132 avait déjà réalisé une oeuvre à Dijon en juin 2019 sur le M.U.R, rue Jean-Jacques Rousseau. Cette œuvre sera recouverte par celle de Poch lors du festival d’art urbain mais celle qui se trouvera au quai des Carrières Blanches sera permanente.
STF Moscato arpente les rues et décolle des pans entiers d’affiches pour les maroufler ensuite sur toile. Un dialogue créatif s’amorce avec le support quand surgit un mot, une partie de visage ou une couleur. L’artiste travaille au pochoir et compose des œuvres uniques. Fortement inspiré par la culture punk rock, il propose aussi un engagement social et politique.

Horor + Lady Shove + Goddog + Pec + Skey-One + MadamePlace de la Sainte-Chapelle – live painting du 11 au 13/10
Dans le cadre de la saison inaugurale du Musée des Beaux-Arts, six artistes prennent possession de deux modules en bois pour y créer une œuvre inédite sur chaque face.

Horor mêle l’univers du dessin et du graffiti. Ses créations s’inspirent principalement du monde animal. Des ossatures mécaniques et des textures minérales composent son bestiaire. Horor aime combiner le travail de lettre avec le dessin classique. La fiction et le fantastique sont sources intarissables d’influences et d’inspirations.

Formée au Kiad à Maidstone au Royaume-Uni et à Saint-Luc en Belgique, Lady Shove est graphiste freelance depuis 2004 et graffiti artiste. Ses supports de prédilection sont nombreux.
L’univers de Goddog se situe aux frontières de l’art urbain, de l’abstraction et de la figuration libre. Lignes et formes dévoilent des mondes imaginaires géométriques où se dissimulent paysages, visages et symboles. Sans volonté mystique affichée, le travail de Goddog est truffé d’évocations symboliques, ethniques et oniriques.

PEC a toujours dessiné sur les bancs de l’école et c’est tout naturellement qu’il a commencé le graffiti en 1989 dans sa ville natale, Lyon. Il a élaboré son art au fur et à mesure de ses sorties nocturnes et de ses expériences. Se remettant sans cesse en question pour trouver son style en adéquation avec le milieu urbain.
Skey-One débute en 1991 à Auxerre. Traditionnel mais excentrique, ses lettrages sont dynamiques et wild. Il pratique le graffiti par amour.
Depuis quatre ans, Madame travaille de vieux documents et vieilles photographies pour en refaire de nouvelles images, plus contemporaines. Ces visuels originaux sont toujours articulés de la manière suivante : une image et une punchline qui dialoguent sans pour autant s’illustrer l’un l’autre. Il s’agit ici de proposer au  « spectateur » une image à interprétation multiple.

Collectif 100 Pression – Le long de la rue Jérôme Marlet – résidence du 8 au 13/10
Le Collectif 100 Pression est un collectif nantais d’artistes urbains. Il s’organise autour d’un noyau dur de créativité et de coordinations de projets avec pour objectif la diffusion de la culture graphique et urbaine. Les artistes du collectif présents sur Banana Pschit !!! :

Kazy.K est graphiste et illustrateur indépendant, nourri de l’imagerie underground des années 80 à aujourd’hui et d’une pratique du graffiti. Il possède un large éventail de techniques de représentation (dessin, peinture, gravure, montage, découpage…) et n’hésite pas à détourner de manière incisive certaines iconographies sacrées.
Persu est actif dans la scène graffiti française depuis le début des années 90, où il intervient sous divers pseudonymes. C’est au sein de L’OCT crew qu’il développe une technique qui lui permet de pouvoir tout réaliser, du simple «flop» à la fresque ultra colorée. Sa spécialité reste le «Wild style», style de lettrage complexe.

Pedro est un peintre/illustrateur installé à Nantes. Son environnement artistique oscille entre l’imagerie skate, l’univers des comics US, la peinture du XXe siècle jusqu’au graffiti des années 90. Son travail, mêlant techniques de peinture classique et pratique du spray, dépeint les hommes au travers de la figure animale à la manière d’un fabuliste
Depuis son enfance, Wide est fasciné par les espaces abandonnés et cela fait 20 ans qu’il réalise des peintures dans ces lieux en décomposition. Cette pratique a développé chez Wide une recherche d’esthétisation de l’éphémère via le Glitch art qui consiste à reconnaître la beauté dans les erreurs d’affichage des images numériques.

Mantra – 38 rue des Godrans – résidence du 14 au 17/10 – rencontre avec l’artiste mardi 15/10 à 18h – inauguration le jeudi 24 à 18h.
Mantra grandit entre le vacarme de la ville et les murmures de sa campagne environnante. Son travail rend hommage aux héros de son enfance : papillons, hiboux et araignées. Tout un bestiaire qu’il peint dans un style vivant et réaliste. Son art, comme un miroir, reflète les cris d’une nature que l’on n’écoute plus. Il peint à main levée, sans faire usage de projecteur ou de quadrillage, démontrant une passion et une motivation unique.

Momies + Maye – 8 rue Galoche – résidence du 17 au 21/10
Depuis ses débuts sur la scène graffiti montpelliéraine en 1993, Momies s’est inspiré de ses nombreux voyages pour affirmer son style unique. Ses « modules », un travail très personnel de tracés industriels tout en rondeurs et en couleurs, sont caractéristiques de son univers abstrait dans lequel le noir et le blanc occupent une place importante.
Passionné par le dessin, Maye s’exprime d’abord dans les rues de Montpellier avec le graffiti où il développe une recherche autour du lettrage. Après être passé des murs à la toile, Maye nous fait désormais voyager à travers des scènes inspirées de ses souvenirs et nourries de son imagination, où des personnages longilignes et souples sont composés d’éléments naturels et artificiels.

Sismikazot – Centre Social des Grésilles, 3 rue Jean XXIII – résidence du 20 au 25/10, inauguration le 25 à 18h – expo à La Coursive, vernissage le 19 à 18h, rencontre avec l’artiste le 19 à 20h30
Ce duo d’amis venu du Sud-Ouest a commencé le graffiti dans les années 2000, pour évoluer vers une forme qui mêle abstrait, figuratif et typographie. C’est grâce à ces trois éléments qu’ils racontent des histoires et des émotions à travers leurs fresques. Leur besoin de rencontres et d’échanges constituent aujourd’hui le fondement de leur travail. Ensemble, ils vont aller à la rencontre des habitants des Grésilles et s’inspirer des témoignages de ces derniers afin de créer une oeuvre inédite.
À partir du 19 octobre, La Coursive accueille une exposition : Découvrez les œuvres réalisées par Sismikazot, ainsi que le fruit du travail effectué par les enfants du quartier dans le cadre d’ateliers ayant ponctué la résidence.

MissyPlace Paul et Henriette Dard
En juin 2019, les organisateurs de Banana Pschit !!! et la commission de quartier Montchapet ont invité Missy à Dijon. Sa fresque colorée est toujours visible place Paul et Henriette Dard. Missy est née en 1988, vit et travaille en tant qu’illustratrice freelance à Strasbourg. Elle débute son parcours artistique en 2004 où elle étudie les arts appliqués puis les arts graphiques. Passionnée de voyage et d’histoires imaginaires, elle cultive son petit monde peuplé de drôles d’oiseaux, de flamants pas toujours roses, de cactus en pot, de cabanes sur pilotis et de fleurs tropicales. Elle troque volontiers son nuancier de couleurs pour une palette de points et de hachures. Pas piquée de tocs, elle touche à tout et expérimente toutes sortes de techniques.

LES EXPOS

Poch au Black Market – du 10 au 27 octobre – vernissage le jeudi 10 à 18h30
Durant trois semaines seront exposées au Black Market diverses œuvres réalisées par Poch, qui sont le fruits de techniques artistiques variées. Poch gravite dans l’univers punk-rock et s’intéresse très vite au pochoir. Il réalise ses premiers « bombages » dès 1988. Fin 80’s, il découvre le mouvement hip-hop et le graffiti. À la fin des années 90, il opte pour un travail plus minimaliste. Privilégiant d’autres médiums, il multiplie logotypes à l’acrylique, collages in situ, pochoirs et affiches.

Art-Print / Micro-éditions à la Ferronnerie – du 11 au 13/10 – vernissage le vendredi 11 à 18h
Durant trois jours, cette exposition mettra à l’honneur le travail de différents artistes et collectifs :
 Inencadrable, Superseñor, Tabernacle!, Amose, Turboformat, EE et EusebioDécouvrez des créations originale, de la sérigraphie, des posters d’art, et autres éditions. Entrez dans l’ambiance du festival dès le premier soir avec le DJ set de Bumbum Tamtam.

Portrait de famille à la Ferronnerie – du 11 au 13/10
Cette exposition collective originale, créée pour la Métairie Bruyère, est le fruit de résidences d’artistes in situ.
Quand on donne carte blanche à un artiste pour créer la tribu de son choix, on ne sait pas à quoi s’attendre. Et quand 8 artistes contemporains composent ensemble un jeu de 48 cartes, cela donne une joyeuse foule vibrante et surprenante. Venez admirer leurs lithographies, gravures, peintures, dessins, sculptures et d’autres surprises tirées de l’imagination de Clet, Camilla Falsini, Antonio Seguí, Damien Poulain, Kashink, Speedy Graphito, Mister Pee et le CyKlop.

LES CONCERTS

Vendredi 11/10 | 21h | Les Tanneries. Too Many T’s + Yugen Blakrok + Posse’tillon + Le Père Cut (plus d’infos en suivant ce lien)

Samedi 12/10 | 21h | Les Tanneries. Guerilla Poubelle + Potence + Les Slugs + Stygmate + Raoul W (plus d’infos en suivant ce lien)

Samedi 12/10 | 14h à 19h | Quai des Carrières Blanches. Bloc Party | Dubatriation Sound System (plus d’infos en suivant ce lien)

Dimanche 13/10 | 20h30 | La Ferronnerie. Ben Sanair (noise/drone) + DJ set (plus d’infos en suivant ce lien)

Jeudi 17/10 | 20h | La Ferronnerie. Cesar Palace (solo cosmique) (plus d’infos en suivant ce lien)

Vendredi 18/10 | 20h | La Ferronnerie. AsexuaL (stoner expérimental) (plus d’infos en suivant ce lien)

PROJECTION

Girl Power – Mercredi 16/10 à 20h à la Ferronnerie
Girl Power gravite autour de 28 graffeurs féminines, street artistes, ou personnes gravitant autour de cet univers. Ce documentaire a été produit par Sany, peintre vandale qui a décidé de capter l’émancipation des femmes dans le graffiti et de leur donner la possibilité de s’exprimer. Le tournage, lui prendra pas moins de 7 ans, pendant lesquels elle a voyagé dans 15 pays différents pour connecter ses protagonistes : de Prague à New York en passant par Sydney, Moscou, Madrid, Toulouse, Le Cap, Biel… (plus d’infos en suivant ce lien)

RENCONTRE – ATELIER

On fait le mur, l’art urbain à hauteur d’enfant – Mercredi 16/10 de 14 à 17h à la Ferronnerie
Parler d’art urbain aux enfants dès la maternelle. C’est possible ! Venez rencontrer Sébastien Touache et Romain Gallissot, les auteurs de On Fait Le Mur ?, un album jeunesse qui ouvre les portes de l’art urbain aux enfants, dès 5 ans.
Cette rencontre sera l’occasion pour les auteurs de vous faire entrer dans les coulisses du projet et de partager des expériences menées dans plusieurs classes. Elle sera suivie par un atelier de pratique, créatif et artistique, et d’une séance de dédicaces. (plus d’infos en suivant ce lien)

Source et photos © Banana Pschit

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Festival Interactions : le programme 2019

13 Sep

Interactions, c’est le festival de l’association CHKT. Plus de 60 artistes sur 5 journées aux thématiques différentes. Évolutif, pluridisciplinaire, il constitue une réunion d’acteurs locaux venant partager couleurs et ambiances.

Programme:

Interactions J1 (mardi 1 octobre 2019) : Afro-latino vibes

Interactions J2 (mercredi 2 octobre 2019) : Kids day

Interactions J3 (jeudi 3 octobre 2019) : Rock’n’pop

Interactions J4 (vendredi 4 octobre 2019) : Culture hip-hop

Interactions J5 (samedi 5 octobre 2019) : Night fever

L’objectif : nourrir jour après jour l’exposition par toutes les interactions que créeront artistes et publics.

Bar et restauration sur place
Mardi, mercredi – Gratuit
Jeudi, vendredi, samedi – 2€ après 19h
Liquide et CB

Source : CHKT – Visuel © Axel Caillet (CHKT)

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Tribu Festival 2019 – Le programme complet

13 Sep

Rendez-vous du 27 septembre au 6 octobre 2019 pour 10 jours d’explorations musicales dans divers lieux de la métropole dijonnaise ! Le festival fêtera cette année ses 20 ans : 20 ans d’explorations sonores et de moments conviviaux.

Les artistes invités cette année gravitent autour d’univers sonores variés : Musiques improvisées, musiques urbaines d’Afrique, musiques traditionnelles, jazz, électro, hip-hop…

Le programme complet

• Vendredi 27 septembre 2019 à 19h : Ouverture du festival : Ze Tribu Brass Band + Les Ateliers de l’ESM BFC – La Vapeur.
• Vendredi 27 septembre 2019 à 20h30 – Super Parquet + Dordogne – La Vapeur

• Samedi 28 septembre 2019 à 20h – Blick Bassy + Moussa Koita – Salle Mendès-France, Quetigny

• Mardi 1er octobre 2019 à 20h – Bachar Mar Khalifé – Piano sur le fil – Théâtre des Feuillants

• Mercredi 2 octobre 2019 à 20h – Jeru the Damaja + Reverse Winchester – Le Consortium

• Jeudi 3 octobre 2019 à 18h30 – Édredon Sensible – Village du festival, Port du canal.

• Jeudi 3 octobre 2019 à 20h30 – Guts & Les Akaras De Scoville + Onipa – Cabaret Éphémère, Port du canal.

• Jeudi 3 octobre 2019 à 23h30 – Mawimbi – Péniche Cancale

• Vendredi 4 octobre 2019 à 18h30 – Cyril Cyril – Village du festival, Port du canal.

• Vendredi 4 octobre 2019 à 20h30 – Gyedu-Blay Ambolley + uKanDanZ – Cabaret Éphémère, Port du Canal.

• Vendredi 4 octobre 2019 à 23H30 – Péroké – Péniche Cancale

• Samedi 5 octobre 2019 à 18h30 – Olaïtan – Village du festival, Port du canal

• Samedi 5 octobre 2019 à 20h30 – Sofiane Saidi & Mazalda + Damily – Cabaret Éphémère, Port du Canal

• Samedi 5 octobre à 23h30 – BuenaVibra DJ – Péniche Cancale

• Dimanche 6 octobre à 17h – Sibusile Xaba & Maëlle Desclaux – Atelier Chiffonnier

Source et illustration : Zutique Production

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Banana Pschit : un nouveau festival d’art urbain en octobre à Dijon

03 Sep

 

Le festival d’art urbain Banana Pschit !!! investit pendant plusieurs semaines la métropole dijonnaise. Du 10 au 25 octobre, ce sont plus d’une trentaine d’artistes urbains de renommée nationale ou internationale qui prennent possession de l’espace public pour y réaliser des oeuvres originales. Elles sont le fruit de techniques artistiques variées et mettent en avant l’art urbain sous toutes ses formes.

Jam graffiti, concerts, expos, micro-édition, projections, parcours street-art, muralisme, live painting…

Cliquez ici pour le programme complet.

Un événement porté par le collectif Le MUR Dijon. Illustration : Stom500

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Planter des arbres au centre-ville : vraie solution ou simple poudre aux yeux ?

01 Août

[Point de vue] A contre-courant d’une tendance qui semble faire consensus contre le réchauffement climatique, l’architecte dijonnais Vincent Athias explique pourquoi planter quelques arbres ne suffira pas à adapter nos villes occidentales aux défis à venir.

Place du Bareuzai à Dijon. © Bertrand Carlier – Jondi

Le réchauffement ne peut plus être nié, même par ceux qui le niaient encore veille. Selon deux études distinctes publiées le 24 juillet dernier, le réchauffement planétaire actuel serait sans précédent depuis 2000 ans. Toute la planète est désormais touchée et ce dans des proportions qui valident les scénarios des experts parmi les plus pessimistes. Or, si la prise de conscience est aujourd’hui pratiquement unanime, les mesures peinent à se mettre en place à l’échelon international et s’avèrent bien souvent contreproductives à l’échelon national. C’est au niveau local que l’action paye vraiment et c’est cet échelon politique qui sera renouvelé en mars prochain. Que faire, que proposer sans hypothéquer ses chances d’être élu ? Le mieux serait de trouver une solution simple produisant beaucoup d’effet sans bouleverser la vie des gens et mieux même, en l’améliorant. Comme planter des arbres dans les rues par exemple. La ville de Bordeaux ne vient-elle pas de promettre 20 000 plantations pour les années à venir ?

L’arbre de rue : la promesse de faire beaucoup en changeant peu

Planter des arbres dans nos rues est une solution économique et facile à mettre en œuvre pour lutter contre les fameux « ilot de chaleur ». L’arbre assainit l’air ambiant, régule son taux d’humidité et favorise le cycle de l’eau grâce à ses racines. Voir davantage d’arbres dans nos rues rendrait nos villes plus supportables : nous n’avons jamais autant vécu en ville et dans le même temps nous adorons les détester… Sauf là où il y a des arbres. Nous avons également besoin de nous rassurer avec les images du passé. Les arbres de rue évoquent les boulevards ombragés des photos de Doisneau en convoquant un Eden perdu et ses bouquinistes sous les platanes, et ses amants sous les tilleuls. Une vie paisible loin des torpeurs et des soubresauts contemporains.
Face au défi climatique, l’arbre de rue réussit le tour de force de faire consensus entre, d’un côté, les écologistes pour qui l’urgence commande quitte à recourir à la contrainte, et d’un autre côté les conservateurs pour qui les valeurs traditionnelles et les libertés individuelles priment sur tout le reste. Paradoxal ! Encore mieux : L’arbre de rue réconcilierait le décideur avec l’usager autour du dessein d’un acte efficace et économique sans rien changer à nos modes de vie. Mais l’arbre s’épanouit-il vraiment en ville ? L’arbre aime-t-il vivre dans nos rues ?

L’arbre de rue stresse comme vous et moi

Nous avons de la sympathie pour les arbres de nos rues. Admettons donc qu’ils puissent souffrir à leur manière de la vie urbaine. Les facteurs ne manquent pas : air trop sec, rareté de la ressource en eau, racines développées dans une motte trop petites, vandalisme… La rue offre un cadre bien peu propice à un organisme vivant qui recherche des ressources pérennes et une croissance rythmée par les saisons. Le ramassage des feuilles mortes et la pollution lumineuse sont des facteurs de stress qui ont des conséquences concrètes sur leur capacité à réguler l’air ambiant.
En réalité, rien ne prouve que vingt mille arbres de rue plantés dans une métropole de plusieurs centaines de milliers d’habitants logés dans des dizaines de milliers d’immeubles maçonnés aient un effet global sur la résorption des bulles de chaleur urbaine : lorsque les séquences de canicule se succèdent au cours d’un même été, l’air urbain devient sec et l’évapotranspiration du houpier diminue pour devenir marginale : l’arbre de rue souffre à sa façon de la chaleur et ses capacités déclinent à peu près au même rythme que les nôtres.
En définitive, pour améliorer notre confort de vie, nous convenons de dégrader celui d’autres organismes vivants, et ce sans certitude d’efficacité. Soit, mais dans ce cas, n’en faisons pas un argument écologique ou tout au moins, prenons bien en considération les besoins de ces nouveaux hôtes des rues, et assurons-nous que les bénéfices qu’ils sont susceptibles de nous apporter compenseront vraiment les ressources que nous consacrerons à satisfaire leurs propres besoins.

Un arbre en ville est un consommateur comme les autres

L’arbre est un consommateur d’eau comme les autres. Si nous occultons cet état de fait c’est parce que nous sommes convaincus que les bénéfices climatiques des plantations urbaines compenseront nécessairement l’élévation de la consommation d’eau induite. Mais en définitive planter plus d’arbres en ville alors que les pénuries d’eau sont destinées à se multiplier, est-ce bien raisonnable ? Il y a de quoi s’interroger.
Déjà, sur des territoires forestiers de l’Est de la France où la pluviométrie était traditionnellement importante, des massifs entiers de résineux périclitent. Là-bas pourtant nul immeuble, pas de rues pour amplifier l’échauffement : juste un manque d’eau chronique qu’il faudra bien compenser pour nos arbres de rue. Or, un conifère de taille adulte consomme plus de 300 litres d’eau par jour et un feuillu ornemental facilement 50% en plus.
Si nous suivons la logique contemporaine, les pays où la chaleur est cuisante depuis des millénaires auraient dû massivement planter leurs rues. Or, si les grandes artères du Caire, d’Athènes, d’Alger sont plantées d’arbres, c’est un luxe dont les petites rues doivent se passer. Là, la ville a développé d’autres moyens de lutter contre la chaleur par la morphologie des rues, par les encorbellements qui produisent l’ombrage, par les patios et la ventilation naturelle. Tout le contraire de ce que nous avons fait.

L’arbre ne saurait compenser la mauvaise adaptation de notre modèle urbain aux fortes chaleurs

Nous n’avons pas développé nos villes pour lutter contre les fortes chaleurs au moyen de la végétation. Historiquement, la nature était peu présente dans nos quartiers populaires parce qu’elle était trop souvent synonyme d’insalubrité. Elle se cantonnait aux rives des cours d’eau urbains, ces égouts à ciel ouvert auxquels les faubourgs tournaient le dos. Au XIXe siècle nos rues se sont élargies, sont devenues des boulevards et des avenues bordées d’immeubles relativement bas en proportion des voies, nantis de trop rares balcons et galeries pour donner de l’ombrage. Parce que l’on pense être en passe d’achever l’exploration du monde, les allées d’arbres des avenues, les plantations de conifères venus d’Amérique et les jardins d’acclimatation de nos grands centres haussmanniens sont avant tout destinés à montrer une nature enfin domestiquée. Une domestication qui se fait au prix de besoins d’entretien constants. Parallèlement, grâce à Mansart, les combles de nos copropriétés sont devenus logeables et ne jouent plus leur rôle de volumes d’air tampon au bénéfice du confort d’été de l’immeuble.
Plus tard, la mobilité urbaine a amplifié l’artificialisation des sols et l’élargissement des voies. Les surfaces glabres de nos toitures terrasses, dépourvues de tout débord, sont massivement exposées au soleil. Après de longs épisodes de chaleur le rayonnement des maçonneries et du cadre urbain annule tout rafraîchissement nocturne et rend l’air pollué irrespirable. En vérité nous le savons tous : planter quelques arbres dans nos rues ne suffira pas à compenser des siècles d’urbanisme réalisé en négligence des principes bioclimatiques. Pourtant nous continuons à plébisciter nos villes.

Nos villes étouffent de tout, pas que de la chaleur

Face à des territoires ruraux en recherche d’avenir et que nulle politique d’ampleur ne favorise, la ville constitue un ilot de confort ; promesse, pourtant de moins en moins tenue, de proximité avec les services, le travail, le logement et les loisirs. Ainsi que les spots de pub éthiques nous le rabâchent à longueur de journée, nous sommes également convaincus que c’est en étant tous ensemble et non isolés que nous relèverons le mieux les défis de demain. La campagne peut bien crever finalement, ou bien mieux : retourner à l’état de nature. Demain nous aurons des arbres de rue, demain nous aurons des vergers sur nos toits et des fermes verticales pour produire à proximité. Nous n’aurons plus besoin de campagne.
Allons, redescendons un peu sur terre : partout les métropoles étouffent. Pas seulement de trop de chaleur : elles étouffent de trop de tout. De densité au carré. Trop de logements superposés, trop d’activités dans un même lieu, trop de transits aux mêmes moments. Trop de tout ! Paris n’est qu’un vaste concert de marteaux-piqueurs. Marseille suppure de la bagnole par toutes ses pores. Dans les transports en communs de nos villes, même l’Autre est une friction.
Pour retrouver le bonheur dans nos villes, nous rêvons de vivre le quartier comme un village avec son épicerie, son square, son école. Pendant ce temps la majorité des villages de France ne survivent qu’au prix du combat quotidien des élus locaux qui doivent composer avec des politiques publiques inadaptées, le vieillissement croissant de la population, le fameux effet « double peine » de l’augmentation du coût de l’énergie, l’éloignement des services et le manque d’avenir d’une jeunesse désœuvrée qui voit tant de choses fermer autour d’elle. Nous ne sommes pas à un paradoxe près mais celui-ci pourrait bien nous tuer. Il faut revoir radicalement notre façon de vivre ensemble et d’aménager le territoire. Si les villes ont trop chaud il ne leur faut pas seulement des arbres : il leur faut de l’air.

A bas la métropole, vive l’archipel

Il nous faut faire le deuil de l’hyperconcentration et repenser notre vie en archipel. La densité urbaine est à l’image de la croissance économique : elle a des conséquences concrètes sur l’environnement et ne peut plus être considérée comme infinie. Plutôt que de vouloir transplanter des arbres dans nos rues et par là même augmenter encore une densité urbaine déjà critique, voyons plutôt comment une déconcentration de nos villes et de nouvelles interconnexions entre nos territoires peuvent favoriser une relation renouvelée au végétal, moins artificielle et plus égalitaire. Les arbres ne doivent plus être des outils serviles de notre confort mais des partenaires d’un bien vivre ensemble.
Commençons donc par nous rappeler que nos feuillus ne s’épanouissent vraiment qu’en colonies, tout comme l’espèce humaine, et adaptons les essences aux bouleversements climatiques. Lançons des plans ambitieux de reconquête des zones humides sur les aires commerciales et déconcentrons massivement notre manière de vivre ensemble. En quoi avons-nous besoin de vivre agglutinés dans un monde interconnecté ? En quoi vivre dans un petit bourg serait-il pire que dans une grande ville dès lors que le projet de développement commun favorise, mais favorise massivement, ce type d’occupation de l’espace. Définitivement, à l’échelle urbaine comme à l’échelle architecturale, il nous faut changer d’échelle. La fin du tout voiture peut nous y aider.

La fin du tout voiture redessinera nos rues et nos logements bien mieux que les arbres

Sur les images qui circulent pour souligner les bénéfices de l’arbre de rue, on voit d’un côté une rue bordée de voiture écrasée de chaleur et d’un autre côté la même rue et les mêmes voitures avec des arbres en plus. Le message est clair : point besoin de trop changer. Plantons des arbres et même : peignons nos rues et nos terrasses en blanc. Gardons nos villes hyperconcentrées, gardons nos larges rues, gardons nos bagnoles.
En réalité la voiture reine est morte. Et avec elle ce module de plus ou moins 2,5×5 m qui structurait non seulement nos rues et leurs stationnements mais aussi les parkings souterrains et donc nos immeubles eux-mêmes. Et leurs ilots. Vrai, la ville moderne s’est construite sur ce module. La ville de demain devra s’en trouver un autre, plus proche de l’individu et des défis qu’il lui faut relever. Retrouver l’étroitesse dans l’espace public, traiter le vis-à-vis avec intelligence ou réapprendre à se voir. Penser la façade en volume pour la rendre aimable et protectrice pour l’usage public, notamment par des ombrages sur la rue. Concevoir la toiture comme le moteur principal du confort d’été en luttant contre le gaspillage d’espace par la rétention d’eau en hauteur, la plantation, les volumes d’air susceptibles d’amortir les variations de température. C’est tout un modèle territorial, urbain et architectural qu’il nous faut redéfinir si nous voulons survivre.

Il ne devrait plus y avoir de métropole hyperconcentrée phagocytant ses marges, plus de minéralité urbaine que quelques arbres ne compenseront en rien, Il ne devrait plus y avoir de toiture terrasse sans rétention d’eau ni végétalisation intensive, plus de façade sans encorbellement, plus de rue disproportionnée où le vide chasse l’ombre, plus d’immeuble sans espace commun pensé pour ventiler et se rencontrer, plus de végétalisation en ville sans feuillage en port libre ni racines en pleine terre. Faire beaucoup en changeant peu, cette promesse-là est illusoire et nous précipite à notre perte. Elle assurera certainement quelques victoires aux élections municipales mais ne changera rien à notre destin commun et n’absoudra pas les futurs édiles de leur responsabilité à agir fortement face au défi climatique.

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Coïncidence ou plagiat : le génie québécois de la sculpture était-il un imposteur ?

29 Juil

Photos © Kenneth C. Zirkel et Bertrand Carlier – Jondi [CC BY-SA 4.0]

George William Hill, « l’un des sculpteurs canadiens les plus importants du tournant du XXe siècle » selon la Ville de Montréal, a fait fortune dans la commande publique en érigeant des monuments commémoratifs ressemblant étrangement à des œuvres déjà existantes en France, où il était venu parfaire sa formation.

George William Hill.

L’histoire est cocasse, alors que Montréal vient de célébrer le centenaire de l’un de ses monuments les plus grandioses, le 6 septembre, et qu’une salle de la même ville (le Bordel Comedy Club) vient de bannir l’humoriste franco-marocain Gad Elmaleh suite à des soupçons de plagiat. Au moins trois édifices commémoratifs de la métropole québécoise s’apparentent à des pâles copies que l’auteur, George William Hill (1862-1934), est venu pomper en France.

George Etienne Cartier vs Sadi Carnot

Les deux monuments se ressemblent à s’y méprendre. L’un est à Montréal, au parc du Mont-Royal, dédié à Sir George Etienne Cartier (1814-1873), un des pères de la Confédération canadienne. L’autre à Dijon, place de la République, fait honneur au député de la Côte-d’Or et président français Sadi Carnot (1837-1894).

Le même sculpteur ? Non. Le monument dijonnais a été érigé en 1899 et est l’œuvre de Mathurin Moreau et Paul Gasq. Celui de Montréal, inauguré vingt ans plus tard (le 6 septembre 1919), est signé George William Hill.

Photos © Kenneth C. Zirkel et Bertrand Carlier [CC BY-SA 4.0]

Les similitudes dans la composition laissent peu de place au doute. Au sommet d’un piédestal monumental, on retrouve l’allégorie de la Victoire, sur une jambe, tenant dans une main une couronne triomphale de « la gloire et de la reconnaissance publique ».

Photos © Kenneth C. Zirkel et Bertrand Carlier [CC BY-SA 4.0]

Au pied de la colonne, sous les lauriers, les deux héros mis à l’honneur : Cartier pour l’un, Carnot pour l’autre. Dans des positions quasi similaires.

Et autour d’eux, un peu plus bas, des statues allégoriques. Les quatre provinces entrées dans la Confédération à Montréal, mais aussi « la Législation » et « l’Education ». A Dijon, il s’agit de « l’Histoire » et « la Douleur ».

Après quelques recherches, on découvre que l’Anglo-Québécois n’en est pas à son coup d’essai. Il en a même fait son business. Le mec a dû se dire : « entre un océan et une ville de province, personne ne s’en rendra compte ». Et de fait, c’est passé crème comme on dit.

Le Lion de Belfort

Fils d’un tailleur de marbre, né à Shipton (aujourd’hui Danville), George William Hill vient étudier à Paris de 1889 à 1894. D’abord à l’École nationale des beaux-arts, puis à l’Académie Julian. A son retour au Québec, il ouvre son atelier à Montréal. Trois ans plus tard à l’issue d’un concours, il décroche sa première commande publique. La première d’une longue série qui fera sa renommée (et sa fortune). Le Lion de Belfort, offert à la ville par la Sun Life Insurance Company, commémore en 1897 le jubilé de diamant (60 ans de règne) de la reine Victoria. En réalité, une copie fidèle d’une œuvre réalisée par Frédéric-Auguste Bartholdi (1834-1904), projet initié en 1872 et dont la dernière pierre fut posée en 1879. En mémoire de la résistance de Belfort, assiégée par les Prussiens durant la guerre de 1870.

Photos © Marc Dufour MTL QC www.emdx.org et Mbzt [CC BY 3.0]

George William Hill n’a pas eu besoin de se rendre à Belfort, où se trouve la sculpture monumentale (22 mètres de long pour 11 de haut), pour s’inspirer : une réplique en plaques de cuivre de 7×4 m est inaugurée à Paris, au centre de la place Denfert-Rochereau, le 21 septembre 1880. L’artiste a d’ailleurs signé « son » œuvre « GW Hill Sculptor » au même endroit que Bartholdi, sous la patte avant droite. Celle qui « vient d’arrêter une flèche ». Mais il a pris soin de préciser « after A. Bartholdi » : on parlera donc d’hommage plus que de plagiat. Un peu facile quand on sait que le Colmarien a passé cinq ans à étudier les lions, notamment au jardin des Sciences, avant de réaliser la statue. Mais bon, admettons.

Les héros de la guerre des Boers et les chevaux de Louis XV

« La première commande d’importance que réalisa Hill », dixit la Ville de Montréal, est dédiée aux héros de la guerre des Boers (conflits en Afrique du Sud à la fin du XIXᵉ siècle entre les Britanniques et les habitants des deux républiques boers indépendantes). La statue, qui est aussi le premier monument équestre montréalais (le seul jusqu’à 2013 et l’un des rares au Canada), est inaugurée en 1907 au square Dorchester, financée par souscription publique.

« L’ensemble sculptural du sommet présente un éclaireur du Strathcona Horse ayant mis pied à terre et retenant par la main droite la bride de son cheval effrayé qui se cabre. » Les postures du canasson et de son maître rappellent beaucoup les chevaux commandés par Louis XV en 1739 pour décorer le parc du château de Marly (réalisés entre 1743 et 1745, transférés aux Champs-Elysées en 1794 puis au Louvre en 1984, substitués par des moulages à Marly-le-Roi). Une œuvre de Guillaume Coustou (1677-1746) que l’ami George aura su remettre au goût du jour en son temps (le héros est en uniforme et non moitié nu).

Mais aussi…

Ces quelques exemples ne semblent pas isolés : en creusant un peu, on trouve des similitudes entre le monument d’Ottawa dédié à l’Irlandais Thomas D’Arcy McGee, un autre père de la Confédération canadienne, et celui du Portugais Jose Simoes de Almeida, dédié au philanthrope Francisco Eduardo de Barahona Fragoso, dans les jardins de Diane à Evora. Le second date de 1908, le premier est réalisé en 1913 par George William Hill à l’issue d’un énième concours remporté. La femme assise (encore un allégorie) contemplant le protagoniste est une fois de plus bien inspirée.

Photos © Alamy et Gouvernement du Canada

On culpabiliserait presque d’intenter un procès à un homme décédé il y a plus de quatre-vingts ans. Reconnaissons-lui sa carrière et ce talent : il a su berner tout le monde de son vivant. Pas forcément un grand artiste, mais un sacré businessman.

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Le street artist Invader s’invite à Dijon

12 Juil

Le célèbre mosaïste, qui s’inspire de la culture du jeu vidéo (pixels, Space Invaders…), a, pour la première fois ce 8 juillet, posé quelques œuvres sur les murs de la capitale bourguignonne. On en a retrouvé 6 (merci à mes indics Emmanuelle, Amandine et Sandra), mais il pourrait y en avoir d’autres.

Merci Monsieur Invader :-D

 

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Pot de moutarde au-dessus du Kent, place du Marché.

Chouette au croisement des rues Jeannin, Verrerie et de la Chouette.

Happy Space Invader place Grangier (côté rue des Godrans).

Space Invader au-dessus du Duke, rues Auguste-Comte et Jean-Jacques-Rousseau.

Space Invader rue Dietsch (croisement avec la rue Vannerie).

Space Invader place du Théâtre (au-dessus de la Comédie).

Photos © Bertrand Carlier – Jondi

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