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Exposition de Nathalie Pucciarelli (mosaique) + Carole Perrau (pentures), du lundi 12 au dimanche 24 mars de 10h à 12h et 15h à 18h.

Nathalie Pucciarelli passionnée par l’Italie mais aussi par le grand architecte Gaudi, s’initie à la mosaïque après son passage à Barcelone.
Elle aime redonner de la couleur aux objets du quotidien, les habiller avec des tesselles multicolores ou tout simplement coller des boutons, des cailloux… tout ce qu’elle trouve lors de ses promenades.

« Carole Perrau  » Artiste peintre.
Mes créations, qui mêlent presque toujours la matière à la peinture, sortent très souvent de leur support, pour poursuivre ailleurs et autrement la suite de l’histoire, au gré de chacun, ou pour simplement venir jouer avec le mur qui les accueille. Différentes séries, lumineuses et colorées, font appel à l’imaginaire, comme cette série des maisons du même nom, ou ces chevaux blancs qui jouent de leurs expressions et de leur posture. Feuille d’or de cuivre ou d’argent appellent l’éclairage à jouer sur la toile, et font vibrer les lumières au fil des heures et de la luminosité. Féériques et imaginaires, ces créations uniques ne sont que deux séries parmi tant d’autres. N’hésitez pas à venir découvrir mes autres univers‌…. »

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival.
Exposition « Une promenade », peintures de Ajung Sung Trottmann – Du samedi 24 au dimanche 31 mars 2024, de 10h à 12h et de 15h à 19h.

Ajung Sung Trottmann est une artiste coréenne, elle a illustré plusieurs livres en Corée et publié un livre en France intitulé Melancolia aux éditions Apeiron en 2019.
Elle a été sélectionnée parmi les artistes devant illustrer les 12 tableaux de Pontus de Tyard. Ses travaux ont été exposés au château de Bissy sur Fley dans le cadre du centenaire de Pontus de Tyard.
Ses œuvres ont figuré dans plusieurs expositions en Corée du Sud et plus récemment en France. Elle travaille principalement à partir de dessins au crayon gras et d’aquarelles etc.

Certaines œuvres ont été retravaillées sur l’ordinateur pour une impression finale en général sur aluminium.

Ajung Sung illustrator – +82 10 6597 9771 – flyajung@gmail.com.

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival.
Exposition du samedi 2 au dimanche 31 mars 2024 (Visible aux jours et horaires d’ouverture des Halles).

Deux œuvres classiques, modernes, éternelles, revisitées par l’artiste pisan alfredo Biagini dit Il Bottega, levez les yeux au plafond des halles et vous serez charmés.

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival.
Exposition du 2 ou 31 mars 2024 aux horaires de la MJC Montchapet.

DM est né à Naples en 1970 et c’est là qu’il a été initié par son père au métier de pâtissier dès son enfance. Il s’installe en province dans les années 1990, mais ce qu’il appelle « la ville grise » reste le lieu d’une intuition toujours recommencée. Si le gris est le nom du destin mais aussi celui du hasard et de la fortune, la main de l’enfant qui travaille perdue dans le besoin peut devenir celle de l’homme qui peint confondu par le désir. Une angoisse de la forme les unit. La peinture de DM trace sur la toile l’histoire d’une main égale et d’une faim d’espace dans le feu des couleurs.

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival.

Exposition « York vue par les cœurs » photos de Monique Serna Garnier et Vincenzo Cirillo.
Du 2 au 9 mars 2024 de 10h à 12h et 14h à 18h.

Raconter l’histoire d’une ville, qui y vit, n’est pas chose aisée, surtout lorsque cette ville est York en Grande-Bretagne, pleine d’histoire, de beauté naturelle et de richesse architecturale.
Mais les associations Ombradipeter, et York for Europe ont décidé de sortir des sentiers battus, de la carte postale artificiel, des monuments que l’on trouve partout sur le net et des photographies touristiques et de montrer sous forme artistique de lieu atypiques et l’investissement de tant d’associations, de créateurs, qui travaillent et qui ne sont pas connus de tous.
Vincenzo Cirillo, metteur en scène de théâtre et plasticien, et Monique Serna, plasticienne, ont décidé de réaliser des photographies avec mise en scène sans idée précise, sans avoir vu les lieux au préalable, ni les protagonistes, sans s’être préparés, si ce n’est de ne pas utiliser de lumières extérieures artificielles, de technologie, de retouches dans Photoshop ou encore d’appareils photo hyper-technologiques, de prendre des clichés en moins de 15 minutes, d’être instinctifs, créatifs dans l’émotion du moment, et sans voir la photo sur l’ordinateur sur place, au risque que la photo ne vienne pas ou soit défectueuse.

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival.

Concert de musique folklorique d’Italie.

Il y a un siècle, deux jeunes mariés, Grazia di Gioia et Francesco Fusaro, quittent Corato, dans le sud de l’Italie, pour venir travailler près de Clamecy, dans l’Yonne. Ce concert est le parcours musical des diverses régions traversées par ce couple d’émigrés : tarentelles des Pouilles, chants de Toscane, valses des Monts Apennins, courenta et contredanse du Piémont, mont farine et valses de Savoie et du Jura suisse, sans compter quelques pièces chantées classiques ou populaires.
Les musiciens et musiciennes de « La Mère Folle » (dont le petit-fils de Grazia) et des musiciens originaires du Piémont font revivre cette épopée au son des percussions, mandolines, piffero (hautbois), fisarmonica (accordéon) et d’instruments comme la vielle, la cornemuse, l’accordéon diatonique, le violon ou la guitare.

Environ : 1h30.

Tarif : 10€
Réservez vos places en ligne

Source et illustration : Ombradipeter

ATTENTION ! SPECTACLE ANNULÉ.

Dans le cadre du 18e Italiart Festival.

« La Lettre » avec Bruno Putzulu (Ex Comédie Française, Prix César), Isabelle Rattier, Rocco Femia, Pascal Castelletta, Cristina Marocco.
Texte et Mise en Scene Bruno Putzulu, création Lumières Vincent Lemonnier.

« Giovanni, quand j’ai su que tu allais venir au pays cet été, j’ai décidé d’écrire cette lettre pour te révéler ce que je n’aurais peut-être jamais dû te cacher. »
La lettre dans la doublure nous emmènera de France en Sardaigne. Nous rencontrerons la dualité chez un père émigré, un fils moitié français, moitié italien. Nous découvrirons la duplicité des personnages qui détiennent le secret. Nous fréquenterons l’étrange et l’étranger, le manque de mots et les mots qui encombrent, la nostalgie porteuse d’avenir, peut-être…
Je me mis à écrire. En avançant dans l’écriture je ne me souciais d’aucune contrainte de conformité à la réalité mais je sentais que face aux événements que j’inventais, les réactions de mon père devaient être en accord avec ce qu’il aurait pu faire. Il y avait là une exigence de vérité car ce qui nourrissait mon écriture, ce n’était pas le désir de me réinventer un père idéal, mais celui de prolonger l’existence de mon père réel. Je crois qu’il revient à ceux qui restent d’entendre l’appel de ceux qui partent : les sauver du néant. C’est, j’en suis certain, à cet appel que répondit ma mère en me demandant de porter la veste de mon père, cet appel qui pousse mon frère Luigi à continuer de cultiver le jardin de notre père, qui mouille les yeux de mon frère Bruno quand il tend la main à un bleu de travail qu’il fait vivre sur la scène de Les Ritals * (Mario Putzulu)

Tarif : 20€
Réservez vos places en ligne

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival.

Duo Colin – Hernandez – Musique classique (mandoline & guitare).

Plongez au cœur de la passion italienne avec le concert mené en duo par Benjamin Colin, mandoliniste et chanteur lyrique, et Rafael Hernandez, guitariste.
Ensemble, ils vous emmèneront dans un voyage musical à travers les époques et les régions d’Italie. De la virtuosité de Calace à la mélodie charmante de Bellini, en passant par les compositions intemporelles de Munier, Monti, Scarlatti et même une touche de Mozart, ce concert est une célébration de la richesse musicale de l’Italie.
Laissez-vous envoûter par les sons envoûtants de la mandoline et de la guitare dans un moment qui vous transportera au cœur de la Bella Italia.

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival – Spectacle humoristique.

Tony Di Stasio illustre savoureusement avec humour que l’on peut aimer deux pays à la fois, celui dans lequel on a grandi et celui de nos racines.
Ce spectacle est un chemin de vie, celui d’un fils d’italiens qui démontre avec malice que dans un pays comme dans un autre on trouve de quoi se construire, aimer et surtout rire.
Tony nous transporte dans un univers ensoleillé, parsemé d’odeurs de thym, de laurier et de Méditerranée. Au travers de quelques personnages parfois un peu déjantés, son regard plein de tendresse et d’autodérision se pose sur l’enfance, la famille, la terre d’origine et celle d’accueil.
Son « italianitude » est en vérité une pirouette pour crier son amour de la France, car comme disaient ses parents, la terre d’accueil est un bien chérir. Un spectacle plein d’amour, de rires et de sincérité à déguster comme une tasse de bon café.

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18ème Italiart Festival.

Opéra lyrique « La fouille des siècles. Entre l’amour, la mort et la joie » – Mélodies italiennes du baroque et du XXe siècle.

Nobuyoshi Shima et Cecile Roovers de l’opéra du Nord d’Amsterdam vous invitent à la découverte des liens entre les mélodies et les airs italiens depuis le début du baroque et le premier moitié du XXe siècle. Puisant dans des thèmes éternels comme l’amour et la mort, les compositeurs italiens tels que Respighi et Alfano se sont inspirés de mélodies relativement simples du baroque. Composer un bon programme pour un récital est toujours une aventure. Dès lors, comment faire la liaison entre A. Scarlatti et O. Respighi, A. Casellla et F. Durante ?
Nuboyoshi Shima et Cecile Roovers aimeraient partager avec vous leur quête. S’agira-t-il d’un récital ? d’une comédie musicale ? ou de quelque chose entre les deux ?
Laissez-vous surprendre par « La fouille des siècles ».

Source : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival.

Dansez au son des tambours et des musiciens, si vous aimez la danse, les danses folkloriques italiennes venez vous laisser aller, vous libérer du stress de la vie, puis partez pour un voyage dansant vers le sud chaud de la péninsule italienne, une invitation à se libérer du poison de la tarentule et à atteindre le trans de l’âme, la fête, la joie à la napolitaine, ce n’est pas difficile, des danses pour tout le monde et pour tous les âges.

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival.

Italiart, Arteggio et la Compagnie Arteteka présente un collectif de musiciennes aux origines multiples, porté par Francesco Quartuccio, musicien, chanteur, interprète de musique populaire et glaneur de traditions orales.

Abbal ! Vous invite à un voyage dans la musique traditionnelle de l’Italie du Sud, à la découverte d’un répertoire sans âge où s’entremêlent chants, danses, sérénades, musiques à boire et à danser toute la nuit – depuis Naples jusqu’en Sicile en passant par les Pouilles et la Calabre. Utilisant les instruments de la tradition, rythmes endiablés et voix venues du fond de l’âme amènent le public dans le « cercle magique », symbole d’union, moment initiatique, représentation de l’infini présent, espace de transe, matière et esprit : cercle de vie. Abbal ! En napolitain : danse !

Tarifs : De 16€ à 13€

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival – Théâtre.

Les concerts de midi proposés par l’ESM sont devenus un rendez-vous incontournable du programme du festival Italiart, le choix des mélodies, des chansons, des interprétations est toujours raffiné et de haut niveau, un autre moment intense à ne pas manquer.
Vous ne serez pas déçus par la créativité, la recherche d’un répertoire infini et riche de transpositions éclectiques, de mélodies émouvantes, parfois poussées à la recherche, d’arrangements originaux, les étudiants et les professeurs de l’ESM aiment s’aventurer et oser, et à chaque fois c’est différent.

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival – Théâtre.

Un texte sur la poésie, le vide, l’ignorance de notre époque et le vol que nos âmes ont subi, je sais bien que c’est de la folie, mais si les poètes sont fous, mieux vaut provoquer que se taire ! (Vincenzo Cirillo)

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival – Théâtre.

Un texte sur la poésie, le vide, l’ignorance de notre époque et le vol que nos âmes ont subi, je sais bien que c’est de la folie, mais si les poètes sont fous, mieux vaut provoquer que se taire ! (Vincenzo Cirillo)

Source et illustration : Ombradipeter

Dans le cadre du 18e Italiart Festival.

Belinda Kunz, mezzo-soprano, Laurent Sultan clarinettiste, Valentin Mansard pianiste.

Musiques de Rossini, Donizetti, Bellini, Verdi, Puccini, Mascagni…. Nino Rota, Ennio Morricone, Alessandro Cicognini… « On peut dire sans exagération que l’opéra a été le cinéma du 19ème siècle, prodiguant à son public émotions, exotisme, passions, féérie, spectacle, et même ces deux ingrédients traditionnels du spectacle populaire que sont la violence et l’érotisme ». (Larousse)
L’Italie en offre la plus éclatante démonstration avec ses merveilleux compositeurs d’opéra ou de musique de films, ses metteurs en scène, ses réalisateurs et ses cinéastes au talent universellement reconnu : Fellini, Zefirelli, et Francis Ford Coppola, d’origine sicilienne, représentant de l’importante communauté italienne aux USA.

Le programme du concert proposé par les artistes de l’Opéra Voyageur offrira une première partie « Opéra Italien » avec des airs d’opéra et des paraphrases virtuoses d’opéra célèbres interprétées à la voix Belinda Kunz, à la clarinette Laurent Sultan, les solistes étant accompagnés au piano par Valentin Mansard ; la deuxième partie sera consacrée aux musiques cultes de films italiens : La Dolce Vita, La Strada, Cinéma Paradiso, Roméo et Juliette, Le Parrain… sans oublier l’inclassable et prolifique Don Camillo.

Source et illustration : Ombradipeter